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Revues Apachita
Apachita

Dans la culture andine, l'apachita est un endroit situé au bord des chemins, généralement en haute montagne, où les voyageurs déposaient une pierre en remerciement aux "apus", pour leur avoir accordé un voyage tranquille. "Apachita" est le bulletin de divulgation archéologique préparé par le Laboratoire d'Archeólogie de l'Université Catholique Équatorienne (siège de Quito), avec la particpation des étudiants. Chaque bulletin est un caillou intellectuel recueilli dans le but de construire une base de préparation académique solide pour les futurs archéologues. Malgré son apparence modeste, "Apachita" s'est diffusée assez rapidement, circulant dans la communauté universitaire de l'Université Catholique de Quito, les institutions culturelles, les moyens de communication, les archéologues et le public intéressé. Nous mettons à présent à disposition des internautes le contenu des numéros déjà publiés, convaincus que l'accueil qui lui sera fait sera aussi enthousiaste, tout comme l'effort que nous fournissons dans la préparation de chaque bulletin.

Éditeur : Ernesto Salazar



Noticias Frescas PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Samedi, 11 Septembre 2010 12:34
Il n'existe pas encore de traduction. Merci de votre compréhension.

La nariz de la esfinge de Gizeh

La esfinge no tiene nariz y la lacra que tiene en la cara sugiere que fue destruida. La historia más famosa es que fue arruinada por las tropas de Napoléon (1798), en pruebas de tiro al blanco. Pero sabiendo del tropel de científicos que el gran corso llevó a Egipto, es muy dificil de tragarse el cuento. El viajero Richard Pococke publicó en 1743 un relato de su viaje, cinco años antes, en el que incluye un dibujo de la esfinge con nariz, pero en un libro que publicó 24 años después se quejaba de que la misma haya sido desfigurada. Por tanto, no hubo erosión, sino mano humana, accidental o a propósito. Otro dibujo, de Frederic Louis Norden (1755), muestra a la esfinge también sin nariz, o sea que talvez Napoleón no la rompió, después de todo. Sin embargo se ha encontrado otro dibujo más antiguo, el de Cornelius de Brujin (1698), que muestra una nariz medio fea pero intacta. ¿Hechos reales o “licencias” artísticas? Otra revelación está circulando. Según Ann Macy Roth, la nariz fue dañada en 1378 “por un religioso musulmán que temía que la esfinge era objeto de veneración inapropiada”. Da fuentes académicas para esta afirmación. El “naricida” se habría llamado Mohammad Sa’im al-Dahr. Ahora bien, iconoclastas han habido en toda la historia, y si los talibanes fueron capaces de hacer explotar en 2001 los budas gigantes de Bamiyan, cualquier cosa pudo haber ocurrido en el pasado más remoto. Vea otras tribulaciones de la esfinge en Apachita 14:3-6 (Prad, heritage-key.com, agosto 2, 2010).

Mise à jour le Samedi, 11 Septembre 2010 13:04
 
Du Collectionneur à l'Archéologue: Leçons du XXème Siècle PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Florencio Delgado-Espinoza   
Samedi, 11 Septembre 2010 12:18

Affirmer que, pendant une grande partie du XXème siècle, l'étude du passé en Équateur a été entre les mains  de collectionneurs conscients du fait que leurs acquisitions repésentaient une partie de l'histoire des sociétés précolombiennes est déjà quasiment un cliché. Suite à l'importante contribution faite à son étude par l'Évêque Federico Gonzáles Suárez, Jacinto Jijón y Caamaño, un avide collectionneur de pièces d'art, explore le sujet, mais, contrairement à González Suárez, il décide de construire sa collection archéologique à partir de fouilles qu'il réalise personnellement. En général, il choisit pour ces travaux ses vastes propriétés, et dans certains cas, il fouille d'autres zones, tels que les sites de la province de Manabí et le site péruvien de Maranga. Le travail de terrain éveille en lui le besoin de fournir des explications et un contenu historique au matériel récupéré, tout en faisant référence aux rapports et publications archéologiques de plusieurs régions du monde. Jijón souffre alors la métamorphose d'un simple accumulateur de biens (collectionneur) à un archéologue de tradition collectionneuse explicative. À cette époque, déambuler tout au long du territoire à la recherche de pièces archéologiques était incontestablement un hobby aristocratique pratiqué par divers personnages; Jijón, lui, contrairement au reste, a essayé d'expliquer le processus culturel à travers les objets.

Mise à jour le Samedi, 11 Septembre 2010 12:31
 
Mindaláes, Mindalas et Cachicaldos PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Samedi, 11 Septembre 2010 12:01

En 1980, l'anthropologue Frank Salomon publia un ouvrage (Los señoríos étnicos de Quito en la época de los incas), qui donna une impulsion énorme à l'ethnohistoire équatorienne en devenir. Il y aborde principalement l'étude des chefferies (llactakuna) de la région de Quito (le célèbre "corregimiento de las cinco leguas de Quito", qui équivaut grosso modo à la province de Pichincha actuelle). Un rôle de toute première importance était accordé au contrôle de la circulation des biens produits au sein de la chefferie ainsi que de ceux qui pouvaient être obtenus dans d'autres zones écologiques au moyen d'échanges régionaux.

Mise à jour le Samedi, 11 Septembre 2010 12:18
 
L'ushno dans la pensée andine PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Luis Rodolfo Monteverde Sotil*   
Samedi, 11 Septembre 2010 11:32

La pensée andine actuelle est un continuum culturel à fortes racines préhispaniques, qui est parvenue jusqu'à nous essentiellement par le biais de la tradition orale. Alors que nous fouillions dans la sierra de Tacna (février 2010), Justino, un habitant de Vilavilani, après nous avoir raconté l'"apparition" du volcan Tacora (dans la région voisine de Arica au Chili), nous spécifia que cette histoire lui avait été racontée par son père et qu'il l'avait lui-même retransmise à son fils. Les mots ou les façons de raconter un mythe ou une histoire peuvent changer, mais leur essence reste et se retransmet de génération en génération. Nous essaierons ci-dessous de faire un bref récit où nous nous pencherons -à partir de travaux ethnographiques-, sur les signifiants abordés de nos jours par rapport aux éclairs, aux pluies et aux pierres. Comme nous le verrons, ces derniers sont associés au concept actuel de l'ushnu  (1) ; ce fut probablement le cas aussi à l'époque du Tahuantinsuyo, certes non pas à l'identique, mais de façon semblable.

Mise à jour le Samedi, 11 Septembre 2010 12:01
 
La Momie du Musée de la Banque Centrale PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Karen O. Bruhns, Nancy L. Kelker   
Samedi, 11 Septembre 2010 11:26

Il arrive -ici ou là-, de trouver de fausses momies. A l'instar de certaines momies égyptiennes, il s'agit dans la plupart des cas d'imitations faites de morceaux de plusieurs corps ainsi que d'objets originaires de plusieurs tombes, joints pêle-mêle dans un ensemble frauduleux. C'est le cas de la pauvre "dame cañari” du Musée de la Banque Centrale de Quito. Ce musée est surtout le musée national du pays, fondé à partir de collections privées et de pièces choisies achetées aux pilleurs, de sorte que la plupart des objets est pratiquement dépourvu de données fiables et détaillées quand aux provenances. Si elle est bien cañari, la momie supposée devrait être originaire des Andes méridionales, ce qui pose problème, étant donné qu'il s'agit d'une région le plus souvent humide, où les abris rocheux secs se font rares, à l'instar de toute la panoplie de facteurs censés favoriser la préservation des momies.

Mise à jour le Samedi, 11 Septembre 2010 11:51
 
La citation de "Apachita" PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Samedi, 11 Septembre 2010 11:18

Dans la préhistoire équatorienne, il convient de bien faire la différence entre deux cultures : la culture inca et la culture authentiquement équatorienne. La première fut amenée par les Incas en Equateur, alors qu'ils conquérirent les provinces équatoriennes ; la seconde est celle que les aborigènes équatoriens réussirent à acquérir par eux-mêmes.

Federico González Suárez, 1915, Notas Arqueológicas, p. 11, Imprenta del Clero, Quito.

Mise à jour le Samedi, 11 Septembre 2010 11:25
 
Si Quieren Ser Inkas… Que Sean Felices PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Josefina Vásquez Pazmiño   
Samedi, 11 Septembre 2010 11:01
Il n'existe pas encore de traduction. Merci de votre compréhension.

Cuando la arqueología se sale de las manos de los teóricos convencionales y se convierte en vanguardismo de etnogénesis en las Américas, la ética, la práctica profesional y el sujeto de estudio se confrontan en una disputa de poderes. ¿Cómo mirar y usar a los ancestros, al re-edificar la historia indígena en el continente? Los espacios arqueológicos se vuelven espacios de poder que responden a las políticas locales dentro de un mundo global/ post-colonial. Una lectura de las críticas post-procesuales en arqueología, de la literatura andina que demostró interés por el pasado pre-americano, y del movimiento indígena en las Américas, contribuye para identificar las distintas formas de utilizar el pasado. En el Ecuador, tanto la conciencia histórica como la prehispánica poco han cambiado, desde que en 1995, Salazar presentara la conclusión de que la mayoría de grupos indígenas serranos señalaban a los inkas como sus antepasados directos. Hoy, el inventario de lugares arqueológicos registra una rotunda minoría de sitios de ocupación inka y no puede ir, sin cuestionamientos, el hecho de que la memoria indígena actual promueva un pasado prehispánico de corte inka, que contradice las evidencias materiales del registro arqueológico. El uso selectivo de los datos con los que aporta la arqueología se está volviendo la norma, y con ello se limita la posibilidad de que los movimientos indígenas cuestionen las reconstrucciones de la historia colonial y occidental. ¿Hasta dónde podemos hablar de ética y de libertades?

Mise à jour le Samedi, 11 Septembre 2010 11:23
 
Symposium Pétroglyphes de l'Équateur PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Mercredi, 26 Mai 2010 04:40

UNIVERSITÉ CATHOLIQUE DE L'ÉQUATEUR
FACULTÉ DE SCIENCES HUMAINES - ÉCOLE D'ANTHROPOLOGIE
CENTRE CULTUREL

SYMPOSIUM PÉTROGLYPHES DE L'ÉQUATEUR
du 4 au 8 octobre 2010

Ernesto Salazar (PUCE) et Josefina Vásquez (USFQ), coordinateurs

Convocation

L'inventaire de biens culturels réalisé par le Ministère Coordinateur de Patrimoine à permit d'inventorier une quantité appréciable de sites avec pétroglyphes, quelques uns connus, et la majorité inconnue de la profession archéologique. Dominée un certain temps par des passionnés, l'étude archéologique des pétroglyphes a pris une autre dimension, en développant de nouvelle techniques de récupération et préservation de l'information, ainsi que de nouvelles méthodologies de corrélation culturelle et d'interprétation iconographique.

En Équateur, l'étude systématique des pétroglyphes commence à peine; enfin il est nécessaire que nous obtenions une vision globale de l'univers des manifestations rupestres dans le pays, les conditions matérielles dans lesquelles elles se trouvent et les projections de son étude.

À cet effet, nous convoquons les collègues et les intéressées à un symposium qui aura lieu à la PUCE, du 4 au 8 octobre 2010. Parallèlement, le Centre Culturel de la PUCE a planifiée la présentation d'une exposition photographique de pétroglyphes équatoriens, reprenant les contributions graphiques des participants qui souhaitent contribuer à cet événement.

Information:

Laboratoire d'Archéologie, Centre Culturel de la PUCE, 2è étage, tél. 2991-700, ext. 1434

Coordinateurs : J. Vásquez (  Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. ), E. Salazar (  Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. )
Exposition photographique : Gaby Costa (  Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. )

 
En circulation... PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Mercredi, 26 Mai 2010 04:32

Almudena, Hernando, 2008, Arqueología de la identidad, Editorial Akal, Madrid.

Bahn, Paul, 2009, Arqueología, conceptos clave, Editorial Akal, Madrid.

Bahn, Paul; Douglas Palmer, 2006, Unearthing the past, Editorial Mitchell Beazley, Londres.

Bancroft-Hunt, Norman, 2004, Atlas histórico de Mesoamérica, Edimat Libros, Madrid.

Barros, Cristina; Marco Buenrostro; Michael Calderwood, 2003, Cocina prehispánica, continuidad cultural: recetario, textos y selección de recetas y citas, 2003, Edición especial de la Revista “Arqueología Mexicana”, Nº 12, México.

Bass, George F., 2007, Bajo los siete mares, Editorial Blume, Barcelona.

Bermúdez de Castro, José María, 2009, El chico de la Gran Dolina, Editorial Crítica, Barcelona.

Bruhns, Karen O., y Nancy L. Kelker, 2010, Faking the Ancient Andes, Left Coast Press, Walnut Creek, CA.

Bruhns, Karen O., y Nancy L. Kelker, 2010, Faking Ancient Mesoamerica, Left Coast Press, Walnut Creek, CA.

Campbell, Chryl, 2009, Arqueología, Editorial Blume, Barcelona.

Cordero Ramos, María Auxiliadora, 2009, El cacicazgo cayambi. Trayectoria hacia la complejidad social en los Andes septentrionales, Ediciones Abya-Yala, Quito.

Chapa Brunet, Teresa, 2008, Arqueología del trabajo, Editorial Akal, Madrid.

Drennan, Robert D., y Santiago Mora, comps., 2002, Investigación arqueológica y preservación del patrimonio en las Américas, Instituto Nacional de Antropología e Historia, México.

Flegenheimer, Nora; Cristina Bayón, y Alejandra Pupio, 2008, Llegar a un nuevo mundo. La arqueología de los primeros pobladores del actual territorio argentino. Editorial Antropofagia, Buenos Aires.

Francovich, Riccardo; y Danielle Manacorda. 2004, Diccionario de Arqueología, Editorial Crítica, Barcelona.

López, Gabriel; y Marcelo Cardillo, 2009, Arqueología y evolución. Teoría, metodología y casos de estudio. Editorial Sb, Buenos Aires.

Manzanilla, Linda; y Luis Barba, 2003, La arqueología: una visión científica del pasado del hombre, Fondo de Cultura Económica, México.

Matos Moctezuma, Eduardo, 2003, Vida y muerte en el Templo Mayor, Fondo de Cultura Económica, México.

Matos Moctezuma, Eduardo, 2008, Muerte a filo de obsidiana, Fondo de Cultura Económica, México.

Pastrana, Cruz; Rafael Alejandro, 2007, La distribución de la obsidiana de la Triple Alianza en la cuenca de México, Instituto Nacional de Antropología e Historia, México.

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Ratto, Norma, 2009, Entrelazando ciencias, Editorial Eudeba, Buenos Aires.

Schavelzon, Daniel; y Ana Igareta, 2007, Viejos son los trapos. De arqueología, ciudades y cosas que hay debajo de los pisos, Editorial Siglo XXI, Buenos Aires.

Schavelzon, Daniel, 2008, El laberinto del patrimonio cultural: cómo gestionarlo en una gran ciudad, Editorial APOC, Buenos Aires.

Schavelzon, Daniel; y Jorge Ramos, 2009, El caserón de Rosas: historia y arqueología del paisaje de Palermo, Editorial Corregidor, Buenos Aires.

 
Événements PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Mercredi, 26 Mai 2010 04:27

9 mars. Estanislao Pazmiño (INPC), Investigaciones arqueológicas en la tola Huataviro, Imbabura. Centro Cultural, PUCE, Quito. Organisé par Facultad de Ciencias Humanas, Escuela de Antropología, PUCE.

29 mars-2 avril. Taller DNA Antiguo. Laboratorio de Genética Molecular de la Cruz Roja Ecuatoriana, Quito. Organisation IFEA, Ambassade de France.

30 mars. Café Scientifique: ADN humano el secreto de nuestro origen y diversidad. Intervenants : Bertrand Ludes, Christine Keyser, Marie Lacan, Nancy Sáenz Ruales. Modérateurs : Tania Delabarde, Francisco Valdez. CAFÉLIBRO, Quito.

7 avril. Jonathan Damp, La vivienda valdivia. Métodos para la investigación del Formativo ecuatoriano. Organisé par Museo Nacional, Quito.

29-30 Avril. Tania Delabarde (IFEA), Cursillo de Antropología Forense para Arqueólogos, Laboratorio de Arqueología, PUCE, Quito. Module “Taller teórico y práctico de Antropología física y forense” par Tania Delabarde, IFEA.

29 avril- 12 mai. Jonathan Damp, Cycle d'ateliers sur le “Sistema Nacional de sitios arqueológicos y ciudades patrimoniales”. Ministerio de Cultura del Ecuador, Quito.

4 mai, Josefina Vásquez, Arqueologías y etnogénesis de las Américas. Organisé par Universidad San Francisco de Quito, en el Museo Nacional, Quito.

4 mai, Tamara Estupiñán, Rumiñahui, guardián del mallqui de Atahualpa. Organisé par Universidad San Francisco de Quito, auMuseo Nacional, Quito.

17 mai, Taller internacional sobre gestión del Patrimonio Inmaterial. Ministerio Coordinador de Patrimonio, INPC, NN.UU., à l'Universidad Andina Simón Bolivar, Quito.

Mise à jour le Mercredi, 26 Mai 2010 04:31
 
Remerciement PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Mercredi, 26 Mai 2010 04:25

Le Laboratoire d'Archéologie remercie le Dr. Robert D. Drennan et le Département d'Anthropologie de l'Université de Pittsburgh pour la donation d'une collection des Mémoires d'Archéologie Latinoamériciane pour l'usage des étudiants d'archéologie de l'École d'Anthropologie.

Mise à jour le Mercredi, 26 Mai 2010 04:27
 
La Vénus de Capucuy PDF Imprimer Envoyer
Écrit par María Soledad Solórzano   
Mercredi, 26 Mai 2010 04:19

Le terme "Vénus" provient de la divinité romaine de l'amour et la beauté ; dans le domaine de l'art antique, son emploi s'est étendu à la désignation des représentations iconographiques féminines, aussi bien en ce qui concerne les peintures que les sculptures. Tout au long de la préhistoire, les représentations humaines, masculines ou féminines, ont été nombreuses et variées ; on les retrouve dans les peintures rupestres, le matériel lithique, métallurgique, et surtout la céramique, matière première qui, en Équateur, a servi à la fabrication de milliers de "figurines" à l'époque précolombienne. Ces représentations, -essentiellement féminines dans notre pays-, ont fait l'objet de nombreuses études (morphologiques surtout), tandis que les analyses de genre à leur sujet sont encore rares ; l'on citera tout de même les contributions de Yépez (2002) et Di Capua (1994).

Mise à jour le Mercredi, 26 Mai 2010 04:55
 
Cultures Précolombiennes: Cahokia PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Avelina Martínez   
Mercredi, 26 Mai 2010 04:08

L'on aperçoit de grands tertres au bord du Mississipi. Alors que les nombreux habitants réalisent leurs tâches quotidiennes, plusieurs dialectes se font entendre sur la place centrale. Il y a un intense va-et-vient sur le fleuve; au sommet des temples, l'on voit la fumée des cérémonies; divers produits venus de loin arrivent vers l'imposante cité des mississipiens; Cahokia resplendit.…

Mise à jour le Mercredi, 26 Mai 2010 04:19
 
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