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Revues Apachita Apachita 13
Apachita n°13
La disparition de la coca en Équateur PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Lynn Hirschkind   
Jeudi, 17 Juillet 2008 18:45

La plante de la coca (Erythroxylum coca) est originaire des zones tropicales et sub-tropicales d'Amérique. Malgré sa présence répandue en Amérique équatoriale, elle est pratiquement absente et inconnue en Équateur. Pourquoi une espèce native a-t-elle disparue, alors qu'elle existe toujours et est même de plus en plus cultivée dans les pays voisins ?

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:23
 
Les Ushnus dans l'administration de l'État inca PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Luis Rodolfo Monteverde Sotil*   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:17

Los ushnus des hauts plateaux, situés à plus de 2 000 m.s.n.m. (Vilcashuaman à Ayacucho, Usno Moq’o à Apurímac, Pumpu à Junín, Huanuco Pampa, Pueblo Viejo à Ancash, Maucallacta à Arequipa, El Shincal de Quimivil et Aspajango au NO de l'Argentine par exemple) sont en principe des structures architecturales à base orthogonale et à plate-formes superposées (à la façon de pyramides tronquées) construites avec des pierres de style inca impérial, unies entre elles sans mortier, bien qu'elles ne présentent parfois qu'une seule plate-forme haute, ou ont des murs de pierre de style rustique ou "pirqueo". La plupart des ushnos des hauts plateaux sont pourvus de marches qui conduisent vers une plate-forme supérieure, d'ou l'on observe parfois des embrasures d'accès, des tianas ou sièges liés à l'observation astronomique, ainsi que des puits ou paqchas où les offrandes liquides étaient versées. Le ushno des zones de hauts plateaux se trouve pafois sur le côté de la place, bien qu'il soit plus commun de le voir au centre de celle-ci; en outre, il |est facile de le détecter car il constitue la structure de plus grande taille d'un site déterminé.

En ce qui concerne les ushnus des basses terres ou zones côtières, situés à moins de 700 m.s.n.m- (les deux Ushnus de Incahuasi à Cañete, Tambo Colorado à Ica, San Juan de Pariachi, La Puruchuca et Huaycan de Pariachi à Lima), ces-derniers sont en général conformés d'une seule plate-forme à petites ou moyennes dimensions, à la façon d'un bloc solide et indépendant à l'intérieur d'une place. On les trouve parfois annexés à des structures architecturales pré-existantes à l'occupation inca des lieux, cas de figure ou le ushnu est situé sur le côté de la place. Sur le littoral, les marches ont été remplacées par une rampe qui conduit vers la partie supérieure du ushnu, bien qu'il y ait des cas ou le monument ne présente ni marches ni rampe. Quelques ushnus présentent également des traces de banquettes ou tianas, et dans beaucoup de cas, l'on observe des peintures sur leurs murs en torchis. En ce qui a trait aux dimensions, les ushnus des basses terres sont des structures architecturales de dimensions égales ou inférieures à celles des autres constructions.

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:16
 
Jemmy Button et l'Empire Britannique PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:22

Fin 1831, le HSM Beagle leva l'ancre, sous le commandement du capitaine Robert FitzRoy, avec la mission de compléter la reconnaissance géographique de la Patagonie et de la Terre de Feu, et de parcourir les côtes du Chili, du Pérou, et de quelques-unes des ìles du Pacifique. Un voyage somme toute de routine qui ne laissait présager en rien la formidable importance historique qu'il aurait dans les années qui suivirent. Effectivement, dans le Beagle se trouvaient un jeune homme de 23 ans nommé Charles Darwin qui, tel un tremblement de terre, allait secouer les bases même de la pensée occidentale de son temps, ainsi que trois personnages appelés Fuegia Basket, York Minster et Jemmy Button, indiens de la Terre de Feu qui allaient jouer un rôle décisif dans les ambitions coloniales dans l'Atlantique Sud, voire dans l'extinction même de leur race.

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:22
 
Paul Rivet PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:29

Le mois de mars dernier marqua le cinquantenaire de la mort de Paul Rivet, illustre pionnier de l'archéologie et de l'anthropologie en Équateur. Rivet (1876-1958) est sans aucun doute l'américaniste par excellence. Certes, sa profession de médecin ne semblait pas lui augurer le brillant futur qu'il connut, mais elle lui permit de participer à la deuxième mission géodésique française pour mesurer l'arc terrestre, raison pour laquelle il alla en Équateur en 1901. Par la suite, il participa activement aux deux guerres mondiales, occupa le poste de Secrétaire de l'Institut d'Éthnologie de Paris et de Directeur du Musée de l'Homme, d'ou il réussit à s'échapper en Colombie avant d'être emprisonné par les Allemands. Nous le retrouvons ultérieurement faisant de la recherche à New-York et à México, puis de retour dans son pays en tant que député de l'Assemblée de 1946; au Brésil et dans divers pays, dictant cours et conférences ou assistant à des événements scientifiques. Et, bien entendu, parmi toute cette activité de conférencier, patriote et citoyen responsable, Paul Rivet trouva le temps nécessaire pour laisser une oeuvre américaniste vaste qui lui a valu d'être universellement reconnu. De 1897 à 1957, époque de sa vie académique et publique, Rivet publia près de 400 items bibliographiques qui vont de nécrologies jusqu'à des résumés bibliographiques, et de petits articles de périodiques jusqu'à des articles et des livres scientifiques dans des revues et éditoriaux dont le prestige n'est plus à refaire.

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:16
 
Nouvelles fraichement cueillies PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:32


La civilisation la plus ancienne du monde

La ville ancienne de Caral, dans la vallée du Supe (Pérou), a surpris le monde entier. Historiens et archéologues, qui ont en général signalé l'Égypte ancienne ou Harappa comme les plus anciens centres de civilisation, sont restés stupéfaits de voir que la civilisation surgit sur le littoral péruvien 2 700 ans av. J.-C.déjà. Caral, dont la découverte fut reportée en 2001, est un immense complexe archéologique de 65 ha. (rien que pour sa zone centrale), avec six grandes pyramides, d'autres plus petites, 2 places circulaires, des temples, des amphitéâtres et zones résidentielles disperses dans le désert péruvien, à 23 km de la côte. Rude tâche pour l'archéologue péruvienne Ruth Shady que celle de persuader le monde que Caral fut déjà une civilisation urbaine avant même la construction des pyramides d'Égypte. Et ce n'est pas tout: alors que toutes les civilisations de l'antiquité semblent être surgies de la guerre, Caral ne montre ni forteresses ni armes ni corps mutilés. Elle semble au contraire avoir été une ville pacifique et accueillante, basée sur le commerce du coton (The Times of India, diciembre 2007).

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:15
 
Hernan Crespo Toral (1937-2008) PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:34
Qu'il est difficile de penser que tu es mort,
capitaine d'hirondelles et de guitares.
Que toi, le vainqueur tenace, soit mort.

Toi, palmier et caroubier sur le monde,
verte colline dans le désert, cèdre.

Rubén Astudillo y Astudillo, El pozo y los paraísos, 1969

C'était un ouragan. Il commençait à parler tout bas, paisible, mais peu à peu, sa véhémence croissait et se transformait en la voix qui clamait en faveur du patrimoine national en danger. D'aucun qui l'ait écouté ne pouvait demeurer indifférent face à l'appel patriotique, qui deviendrait ensuite la noble croisade que fut la vie féconde de Hernán Crespo. J'eus le privilège de travailler avec lui pendant plusieurs années et je l'ai toujours vu comme un créateur, constamment au travail, conspirant de mille et une façons pour que la culture nationale occupe la place qui lui correspond dans la vie du pays. De fait, il fit quelques contributions académiques, telles que l'essai sur les récipients siffleurs, le travail ethnohistorique sur le Corpus Christi de Lima, et surtout, la synthèse de l'archéologie équatorienne, qu'il écrivit avec Olaf Holm pour l"'Histoire de l'Équateur" des Éditions Salvat, si populaire dans les années 80. Une des ses premières actions dans le domaine du patrimoine fut celle d'obtenir du gouvernement de Clemente Yerovi I., en 1966, la garde de Ingapirca pour le Conseil de Gouvernement du Musée Archéologique de la Banque Centrale de l'époque, ce qui permit ainsi par la suite, et grâce à lui, de concréter la participation de José Alcina Franch et son équipe de l'Université Complutense (Madrid) pour la recherche et la restauration du monument en question. Plus tard, en tant que directeur des Musées de la Banque Centrale, Hernán établit la Direction de Recherches Archéologiques à Quito et Guayaquil, qui organisa les premières recherches des archéologues du pays et de quelques étrangers à Tulipe, Mullumica, La Tolita, Cotocollao, Rumicucho, les forteresses du nord du pays, Riobamba l'ancienne, ainsi que diverses recherches canalisées à travers les sous-directions de la Banque Centrale de Cuenca et Guayaquil.

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:21
 
En circulation... PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:40

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ARQUEOLOGÍA SURAMERICANA
numéros disponibles: 3(2) y 4(1), à Quito Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. ou par abonnement et payement online à l'adresse http://www.arqsur.syllabapress.com

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:02
 
Documents : Le lavage de l'or en Amazonie PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Manuel Villavicencio   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:43

En ce qui est de l'or, ils le lavent dans des ruisseaux déterminés, sur lesquels chaque famille semble détenir une propriété exclusive; mais il en est tout autrement pour les grands fleuves, où toute la tribu lave, et sur le fleuve Napo, toutes les tribus peuvent laver sans distinction de personne. La façon de laver l'or mérite que nous lui consacrions quelques lignes.

Les indiens ne creusent pas profondément, ni prennent de quelconques mesures pour économiser du temps et du travail; tous suivent plutôt la coutume de leurs ancêtres. En général, les femmes et les hommes jeunes s'occupent de ce travail, ils creusent aves les mains, sans l'aide d'instruments particuliers, la falaise d'où ils vont retirer la terre pour la laver, au bord d'un ruisseau; car s'il s'agit du grand fleuve, ils cherchent quelque plage pour creuser dans la terre, décoinçant et déplaçant les grandes pierres afin de profiter du mouvement de la terre; cette terre creusée, ils la jettent dans une bassine placée à la surface de l'eau, où ils lui donnent un mouvement de rotation spécial de façon à ce que tout disparaisse de son fond avec l'eau qui rentre, sauf le sable fin et les lamelles d'or, qu'ils recueillent dans un bol, pour les laver en gros après en avoir ramassé en grande quantité; néanmoins, il reste toujours beaucoup de sable, et pour le retirer, ils réchauffent (l'or) dans des petits plats en céramique et dès qu'il est bien sec, ils commencent à souffler le sable sur une feuille lisse afin de récupérer toute lamelle éventuellement partie avec le souffle, mais ils sont si adroits, que de leur seul souffle et du mouvement qu'ils donnent au petit plat, ils ne retirent que le sable.

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:14
 
Collections Équatoriennes Pour le Musée de l'Aborigène Américain, Fondation Heye PDF Imprimer Envoyer
Écrit par George H. Pepper   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:45

Au cours de ces années-là (1904-1906), le Professeur Marshall H. Saville, de l'Université de Columbia, planifia et débuta son travail, dont l'objectif était une reconnaissance exhaustive d'un secteur des Andes et des zones côtières du Nord-Ouest de l'Amérique du Sud, depuis la frontière méridionale de l'Équateur jusqu'à l'isthme de Panama. Par la suite, il fut prévu d'inclure ultérieurement les régions du nord et du nord-ouest de l'Amérique du Sud, ainsi que les Antilles.

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:13
 
La citation de "Apachita" PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:47

Le pillage de temples et tombeaux a été considéré comme un droit des conquistadors européens et, malgré les lois de protection du patrimoine culturel, le pillage continue à travers toute l'Amérique du Sud moderne, où qu'il y ait des artéfacts de valeur. Les collectionistes d'art et d'artéfacts instaurent des musées privés et sont acclamés à titre de philantropes et de patriotes. Mais les changements sont en cours en Amérique du Sud, non sans douleur et résistance... Et de plus en plus, le passé archéologique est considéré comme vital dans la construction de l'identité nationale des pays sud-américains.

William H. Isbell, Conclusion. Dans Handbook of South American Archaeology, 2008, p. 1152, Helaine Silverman et William H. Isbell, éds., Springer, New York.

 
Publication importante sur l'archéologie sud-américaine PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Ernesto Salazar   
Jeudi, 17 Juillet 2008 19:48

Édité par Helain Silverman et William Isbell, et présenté par Norman Yoffee, le Handbook of South American Archaeology (Springer 2008, xxvi-1191 p., US$ 160.00 ) vient de paraître. Dédié à la mémoire de Craig Morris et James Petersen, illustres sud-américanistes récemment décédés, le livre comprend 57 articles organisés sous diverses régions thématiques, telles que les occupations archaïques de l'Amérique du Sud, l'environnement et la subistence, les constructeurs de monticules des basses terres, les variations continentales de la complexité étatique, les expansions démographiques et culturelles, les états et empires des Andes Centrales, les pratiques et croyances funéraires, et l'éthique et la pratique de l'archéologie sud-américaine. "Introduction Continentale" et "Conclusion" très pertinentes et fort à propos, prises en main par Helain SIlverman et William Isbell respectivement. En somme, une vision complète et à jour de l'état de l'archéologie sud-américaine.

Mise à jour le Jeudi, 27 Août 2009 12:12
 


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